La chaine de valeur d’une organisation
Pour définir le niveau d’excellence, l’entreprise doit se poser 3 questions :
La réflexion sur l’excellence conduit tout de suite à penser à l’amélioration.
Alors, comment améliorer les processus et les savoir-faire pour constamment faire mieux ?
Comment une organisation après une période de confinement peut se remobiliser son activité au bon niveau ?
Pour définir le niveau d’excellence, en tant qu’entité propre vous devez vous poser 3 questions :
Quel est le but que je souhaite entretenir ?
La réflexion sur le développement personnel conduit tout de suite à penser à l’amélioration de soi même pour soi et pour les autres.
Alors, comment améliorer nos processus opérationnels et notre savoir-faire pour constamment faire mieux afin d’être bien au quotidien ?
Le management des flux, le développement des Hommes, et la maîtrise des variabilités composent la performance : chacun d’eux a un impact direct sur l’EBITDA (ou EBE) de l’entreprise.
Tout progrès sur l’un de ces axes fait progresser les deux autres, mais la stagnation ou la dégradation de l’un freine aussi la progression des autres.
L’axe des flux et des processus : la performance des processus se mesure par leur temps d’écoulement. Celui-ci est représentatif du niveau des non-valeurs contenues dans l’organisation. Il couvre aussi bien les flux d’information que les flux physiques des biens et des personnes. Nous intégrons aussi dans cette approche des flux, les flux énergétiques mobilisés par l’entreprise et les traitements des déchets.
L’axe des variabilités : L’élimination des sources de variabilités permet de faire tomber les barrières qui empêchent l’écoulement efficace des processus répondant aux attentes des clients, à la qualité de vie des salariés, aux respects de l’environnement. Cet axe couvre aussi bien les non-conformités
L’axe du management et du développement des Hommes. Ce sont les Hommes qui œuvrent de manière continue au développement de l’entreprise. Il est donc important de préserver et de faire grandir le capital humain de votre entreprise, de participer à enrichir la dynamique sociale et économique de votre bassin d’emploi.
La gestion des flux intrinsèques de notre corps (flux respiration, flux sanguin, système nerveux, flux énergétique….), notre implication, notre engagement et la maîtrise des variabilités et/ou des contraintes (perturbation psychiques, doute, indécision, anxiété, variabilité des émotions, conflit, ….) de notre propre écosystème composent la performance opérationnelle de notre propre Etre : chacun d’eux a un impact direct sur l’ Excédent de Bien Etre (EBE).
Tout progrès sur l’un de ces axes fait progresser les deux autres, mais la stagnation ou la dégradation de l’un freine aussi la progression des autres
La gestion des flux intrinsèques : La bonne gestion des flux intrinsèques du corps est liée, indépendamment de la génétique, à la qualité des processus et/ou rituels opérationnels ou comportementaux que vous allez mettre en place ayant une incidence directe ou indirect sur le bon fonctionnement des flux
L’axe des variabilités et/ou des contraintes : L’élimination des sources de variabilités et/ou contraintes permet un fonctionnement optimum, fonction de chacun, des flux intrinsèques. Cet axe couvre l’ensemble des éléments variables et contraignants de notre écosystème. Ceux qui nous perturbent
L’axe implication et engagement. Nous (je) seulement et seulement nous (je) sommes en mesure d’œuvrer de manière continue à notre propre développement personnel. Il est donc important de se préserver du temps pour soi-même. Cet axe est fondamental. L’implication régulière et notre engagement pour nous-même contribueront à élever